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Clubs et réseaux 24 janvier 2012

EAFPC Charente-Maritime : à la découverte du métier de VDI

Mercredi soir, dans une ambiance très décontractée, une douzaine de membres de l’association Entreprendre au Féminin en Poitou-Charentes, section Charente-Maritime se sont réunies pour découvrir le métier d’une adhérente.

Christine est VDI, Vendeuse à Domicile Indépendante. Ce n’est pas sa principale activité, elle la cumule avec celle d’enseignante. Elle a démarré cette seconde activité il y a trois ans, pour le plaisir, surtout sans contraintes, et pour « mettre du beurre dans les épinards ».
Cette activité, elle la pratique dans le secteur de la lingerie féminine haut de gamme. Même méthode donc que celle des petites boites en plastique existant sur le marché depuis si longtemps et qui a d’ailleurs bien évoluée. Elle propose donc en réunion une gamme d’articles de lingerie, que l’on peut essayer sur place. Les clientes passent commande et sont livrées dans un délai grand maximum de deux semaines.

Les adhérentes d’EAFPC à la découverte du métier de VDI... et des produits commercialisés par Christine.

Christine n’est liée par aucun contrat de travail, aucun lien de subordination, elle n’est pas commissionnée et reste libre sur les prix qu’elle pratique. Elle est rémunérée au point, un point qui augmente au fur et à mesure qu’elle « monte en grade ». Car dans ce métier, on commence au bas de l’échelle, en tant que conseillère de vente. Si au bout de trois mois les objectifs ont été atteints, on passe conseillère de vente confirmée, et ainsi de suite, jusqu’à devenir animatrice générale et recruter soi-même des vendeuses.

Pour bien fonctionner, il faut se fabriquer un réseau qui s’étend au fur et à mesure. Sachant que les collections se renouvellent tous les 6 mois, on retrouve ses clientes au même rythme. Une réunion dure en moyenne 3 heures, il faut en faire au moins 4 par mois. Beaucoup de femmes pratiquent cette activité comme emploi secondaire. Si elles arrivent à multiplier les réunions, à bien étendre leurs réseaux, certaines finissent par en faire leur activité principale, rémunératrice au même titre qu’un emploi dit « normal ».

Christine arrondit ses fins de mois de 350 € en moyenne, somme non négligeable de nos jours. L’investissement est important, le plaisir aussi… et n’hésite pas à affirmer que, pourquoi pas, un jour, elle en ferait son activité principale….

AEFPC Charente-Maritime : Cendrine Velthier 07 77 28 34 18

Par Anne-Sophie DESCAMPS
Le 19 Janvier 2012



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